A en croire différents statistiques notre vie en moyenne se réparti comme cela.

« Au premier abord, il y a la question de:

à quoi j’occupe mon temps, de quoi je nourrie ma journée et donc de quoi je me nourris émerge ».

De ce que je mets dedans, de qui je mets dedans, mais il y a aussi la notion de comment je la vis cette journée, comment je suis dedans, comment je suis conscient et présent à ces différents moments.

Cette notion met en lumière l’être et le faire, l’être et le paraître.

On peut modifier son planning, changer de travail, ses relations mais si on ne change pas notre perception, notre présence aux choses et à la vie alors rien ne change vraiment.

On reproduit simplement dans un espace diffèrent avec des gens différents les mêmes schémas.

Si notre regarde intérieur n’évolue pas finalement le plus important n’évolue pas non plus.

Se questionner sur le contenu de nos journées

et de nos préoccupations est un point de départ,

observez comment sont les choses, comment elles se jouent en nous.

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En sophrologie on appelle ça faire un pas de côté comme pour regarder les choses autrement, sous un angle nouveau.

En CNV c’est la phase d’observation sans jugement ou interprétation.

Y a-t-il des liens entre les différentes activités de la journée, est ce qu’un malaise, une contrariété dans un domaine entraine des conséquences dans un autre.

Observer pour prendre conscience, laisser reposer intérieurement les ressentis et voir pour soi comment modifier une petite chose qui rendrait la vie plus confortable et plus douce avec soi-même. 

MaudArc